Résumé d’éditeur :
En Normandie comme au plan national, le nombre de ménages augmente plus vite que le nombre d’habitants, notamment à cause du vieillissement de la population. Moins élevé que dans les décennies passées, le rythme de croissance des ménages resterait tout de même, dans un scénario tendanciel (« fil de l’eau »), de l’ordre de + 7 000 par an à l’horizon 2030. Si l’on prend également en compte les nécessaires recompositions du parc de logements existants en plus de l’évolution démographique, la demande potentielle de logements s’établirait autour de 9 300 logements par an dans les prochaines années. Cette demande potentielle est variable selon les territoires. Elle resterait élevée dans les territoires périurbains, sauf inflexion des phénomènes d’étalement urbain à l’œuvre ces dernières décennies.